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Scandale des M&M’s inclusifs : 5 autres mascottes de marques trop politisées
Accusés par la droite conservatrice américaine d’être devenus trop inclusifs, les personnages M&M’s vont tirer leur révérence pendant quelque temps. En effet, depuis l’arrivée récente dans le gang de dragées de Mrs Purples, une nouvelle venue censée incarner le soutien à la communauté LGBTQ+, les cerbères tradi – Fox News en tête – multiplient les attaques contre le confiseur américain. Face à cette levée de boucliers, Mars Incorporated a donc choisi de renoncer à utiliser leur image dans les futures publicités. Une preuve supplémentaire que les droitards savent vraiment choisir leurs combats et sont le dernier rempart de l’Occident face au péril “woke” et ses Cavaliers de l’Apocalypse chocolatés. Mais la menace est partout. Et les cacahuètes bolcheviks sont loin d’être les seules mascottes de marques politisées. Alors pour faciliter la tâche des grands inquisiteurs réac dans leur nouvelle croisade, on a sélectionné 5 autres mascottes qui méritent elles aussi de finir au bûcher.
Monsieur Propre : le militant LGBTQ+
Une créole à l’oreille gauche, des muscles saillants sous un t-shirt moulant et un sourire coquin fiché au coin des lèvres : Mr Propre a beau arguer qu’il déteste la saleté, son principal ennemi semble être l’hétéronormativité. Et que dire de son obsession malsaine pour le ménage ? Quel homme normalement constitué préfère passer le plumeau que de jouer à Fifa ? Derrière son gros balais brosse, Mr Propre démonte les stéréotypes genrés et fait du sale avec nos belles valeurs traditionnelles.
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Le bonhomme Cetelem : l’éco-terroriste
Véritable Khmer vert du crédit à la consommation, la mascotte en gazon de Cetelem dissimule ses sombres desseins derrière son visage joufflu.
Avec ses prêts à taux zéro, comme le pourcentage d’émissions de gaz à effet de serre que ces pisse-froid d’écolos tentent d’imposer à tout le monde, et son caleçon en terreau, le petit bonhomme en pelouse ne trompe personne. Car au fond, il n’attend qu’une chose : crever les pneus de votre SUV pour forcer à investir dans un vélo.
Le lapin Duracell : la peluche féminazie
Référence à peine voilée au célèbre rabbit, le sextoy qui a gagné ses lettres de noblesse dans Sex and the City, le lapin hyperactif de la marque de piles est une célébration évidente de l’auto-érotisme. Alors ne vous fiez surtout pas à son inoffensive frimousse et son pelage rose bonbon : ils dissimulent sa détermination à laisser sur le carreau tous les hommes qui n’arrivent pas à cartographier une vulve. Car les autres rongeurs qui s’épuisent à tenter de rattraper le champion sont autant de guerriers courageux, tombés au champ d’honneur dans leur quête impossible vers le grand mystère qu’est l’orgasme féminin.
Bonhomme Michelin : l’icône du body-positive
Avec ses rondeurs assumées et ses bourrelets, le bonhomme Michelin se fiche des standards de beauté. Comme une insulte à la thune que vous sacrifiez chaque mois dans vos cours de crossfit, il ridiculise votre idéal de virilité et avec lui tous les mâles alpha de la salle de gym. La goutte de sirop qui fait déborder le smoothie hyperprotéiné ? Il arbore constamment une écharpe de Miss qui laisse planer le doute sur son identité de genre.
Bob, l’Ours Butagaz : le parasite au RSA
Petits yeux de stoner et ramasse sur le canapé : cette grosse feignasse de Bob nous coûte un pognon de dingue. Sans aucun esprit d’entreprise et vivant grâce aux minimas sociaux, l’ours bleu camoufle ses trafics illicites derrière son business officiel de “livraison de granulés”. Il est grand temps de lui couper les vivres et de conditionner son RSA à 20h hebdomadaire de travail forcé.