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Pap Ndiaye, Élisabeth Borne, Aurore Bergé : les flops politiques de la semaine

En politique il y a souvent des tops, mais plus souvent des flops. Voici un top 3 des flops de la semaine. Et la concurrence était rude.

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Pap Ndiaye

Pour lutter contre le harcèlement scolaire, le ministre de l’Éducation a annoncé des nouvelles mesures, tel qu’un « référent harcèlement dans chaque établissement ».

Avant, les parents remontaient les cas de harcèlement au directeur d’établissement, qui ne faisait pas grand-chose. Maintenant, ils pourront remonter les cas à un référent, qui le remontera au directeur, qui ne fera toujours pas grand-chose. Génial.

Élisabeth Borne

Questionnée sur l’avenir de Marlène Schiappa au gouvernement, Elisabeth Borne a répondu « Marlène Schiappa est très engagée », avant d’ajouter qu’il « n’était pas nécessaire qu’elle s’en aille ».

Pour rappel Marlène Schiappa est mise en cause dans la gestion du Fonds Marianne, avec soupçon de détournement de fonds publics. Mais bon vous comprenez elle est « engagée ». Ça annule le reste.

Aurore Bergé

Interrogée sur les débats ayant lieu à l’Assemblée, Aurore Bergé a déclaré qu’ils étaient « en total décalage par rapport à l’effroi qui submerge notre pays », faisant référence à l’attaque d’Annecy.

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Pourquoi les clubs de foot s’arrachent des milieux récupérateurs à plusieurs millions d’euros alors qu’Aurore Bergé existe ? Elle récupère plus vite que son ombre. Vivement son rachat par le PSG.