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J’ai fait purifier (énergétiquement) mon appartement par une géobiologue – Partie 2
Il y a quelques semaines, je vous ai raconté comment j’avais fait analyser énergétiquement mon appartement par une géobiologue. C’était plus par curiosité et pour valider ou invalider certains ressentis survenus dans ce logement que j’ai occupé pendant 3 ans. La semaine dernière, Sophia A. Gérald est venue me rendre visite pour harmoniser mon nouveau nid et m’indiquer la marche à suivre pour laisser entrer les bonnes énergies et faire fuir les éventuels invisibles indésirables.
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Sophia m’avait prévenue : « J’ai une machine pour mesurer les champs électriques et magnétiques, je te montrerai ». J’avais hâte de voir ça mais je n’avais pas pensé au reste de ses outils de travail, à savoir : des baguettes en “L” (les mêmes que mon père utilise quand il s’improvise sourcier), un pendule, une boussole, de la sauge blanche, une plume (pour diriger la fumée de la sauge) et un cahier de notes. « Le rôle de la géobiologie est de s’occuper de l’espace vital avec lequel nous échangeons, soit les relations entre la Terre et le Ciel », stipule d’emblée le rapport que la géobiologue m’a envoyé suite à sa venue. Et c’est vrai, ça résume bien l’objet de son intervention entre nos murs : chercher à ce que l’énergie circule librement dans l’espace, en supprimant les obstacles ou les noeuds éventuels. « Un peu comme le ferait un.e massothérapeute avec un corps humain, c’est ça ? », ai-je lancé naïvement. « Oui c’est exactement ça, en fait. Je prends soin des lieux comme je prends soin des corps », m’a confié Sophia aussi… massothérapeute.
« Je ne parle pas à quelqu’un en particulier, je demande juste de l’aide à l’énergie des lieux »
Un peu plus loin dans le rapport, on lit : « Une intervention en géobiologie ne remplace pas les services d’un professionnel de la santé. Cette étude décrit les phénomènes rencontrés dans votre habitation et comment les corriger éventuellement mais elle ne remplace pas un traitement médical, nous ne sommes pas médecins. En cas de malaise ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé. » Cela va de soi mais mieux vaut le rappeler.
Durant les deux heures trente où elle était là, j’ai tenté de vaquer librement à mes occupations comme si de rien n’était, en faisant parfois des apparitions pour voir si elle ne manquait de rien. Et puis, il y a eu ce moment où j’ai cru l’avoir interrompue pendant qu’elle parlait à une quelconque entité. « En fait, je ne parle pas à quelqu’un en particulier, je demande juste de l’aide à l’énergie des lieux », m’a confié Sophia, plus tard.
Après cela, elle a mesuré les champs électromagnétiques de l’appartement : rien d’alarmant. Et puis, elle a « installé » et dispersé cinq cylindres énergétiques (ndlr, pour renvoyer les énergies négatives à la terre, comme un échangeur d’énergie) dans notre logement : à gauche de la télé et dans le placard de l’entrée ; dans le placard de la chambre et dans le coin a l’angle du mur vert et de la fenêtre. « Comment ça ? Ils sont où ? Je ne les vois pas », ai-je lancé à la géobiologue avant qu’elle m’explique. « Il faut les imaginer : ils font à peu près le diamètre du cercle que tu peux faire avec tes deux bras devant toi, ils partent de très bas dans le sol et vont très haut dans l’espace, jusqu’à l’infini. Ce sera important pour vous de prendre un instant, 1 fois par mois, de visualiser ces cylindres énergétiques pour continuer de les faire exister sur le plan astral », nous a indiqué Sophia avant de préciser qu’elle avait aussi repéré un “nœud géopathogène à cause du croisement du réseau Curry” (ndlr, croisement entre plusieurs perturbations telluriques) dans une des chambres. « Mais je l’ai harmonisé à l’aide des omégas (ndlr, deux bouts de métal en forme… d’omégas). Ils doivent rester là en tout temps ». Si comme moi, il y a au moins deux ou trois notions qui vous échappent dans la phrase précédente, je vous invite à vous cultiver et à contempler le schéma qui suit.
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« Je vous laisse aussi une tige en cuivre que vous allez enterrer complètement dans un pot (avec de la terre) et le placer dans le coin droit du placard. Cela va venir dynamiser l’énergie qui circule un peu moins bien à cet endroit. C’est dans une optique de géopuncture, ça devrait aider la pièce à mieux respirer », a indiqué Sophia, qui venait de me faire découvrir tout un monde avec la notion d’acupuncture pour les lieux. Ça ne m’avait encore jamais traversé l’esprit que les pièces respiraient.
Avant de venir, comme je l’avais expliqué dans l’article précédent, Sophia avait fait une étude préalable sur carte en utilisant la radiesthésie et m’avait prévenue que ça vibrait bien dans le nouveau logement. Elle a pu confirmer ça sur place : « La maison vibrait à 13 000 UB avant les harmonisations. Maintenant, il y a un taux vibratoire moyen de 16 000 UB, ce qui est vraiment excellent. Une maison correcte vibre entre 10 et 12 000 UB (ndlr, à partir de 18 000 UB, on parle de “maison rechargeante”). Et puis, il y a une onde de forme noire magnétique (une lumière invisible favorable à la croissance des végétaux), ce qui est très positif. Si vous aimez les plantes, elles vont y être mieux que nulle part ailleurs », m’a alors expliqué la géobiologue. « Sans oublier la présence d’une cheminée cosmotellurique positive. Ça c’est comme une colonne qui lie le ciel et la terre. Quand elle est positive, ça veut dire qu’elle dégage une belle énergie cosmique. »
En lui disant au revoir sur le seuil de la porte et en respirant l’odeur de sauge laissée sur son passage, je lui ai demandé ses dispos de massothérapie dans les semaines à venir. Parce que si elle prend aussi bien soin des lieux que des personnes, ses services devraient être remboursés par la RAMQ. On verra si mon énergie corporelle circule aussi bien que celle de mon appart, une fois le massage terminé. En attendant, prenez soin de vous et de ce qui vous abrite. Ça ne peut pas faire de mal à votre karma…