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Carnet de suivi psychiatrique des méchants du monde

Attention : diagnostic non officiel mais symptômes bien visibles.

Par
Ouissem
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Bienvenue dans notre cabinet où l’on tente de comprendre ce qui ne va pas dans la tête de ceux qui dirigent le monde comme s’ils jouaient à GTA.

Patient n°1 : Donald J. Trump

Trouble principal : Narcissisme mégalomaniaque avec rechutes complotistes

Symptômes : mythomanie aiguë, addiction à la validation, trouble de la chevelure douteuse.
Traumatisme originel : avoir été un enfant riche, mais jamais aimé.
Thérapie en cours : appliquer des droits de douane aux pingouins.
Risque : récidive présidentielle autocratique.

Patient n°2 : Elon Musk

Trouble principal : Complexe de Dieu avec tendances sociopathes

Symptômes : compulsion à racheter tout ce qui bouge, obsession nataliste.
Traumatisme originel : réaliser qu’il ne sera jamais Iron Man mais juste un réac’ beauf accro à la kétamine.
Traitement suggéré : supprimer son compte X.
Risque : coloniser Mars pour fuir ses responsabilités.

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Patient n°3 : J.D. Vance

Trouble principal : Fantasme autoritaire

Symptômes : passer de “péquenaud” de droite à “fascisto-friendly”.
Traumatisme originel : un prénom composé de deux lettres (très douloureux pour la construction de la personnalité), une relation à sens unique avec son canapé.
Traitement suggéré : une hypnose kafkaïenne administrée par Bernie Sanders.
Risque : devenir en 2028 un président pire que Trump (c’est possible).

Patient n°4 : Javier Milei

Trouble principal : Délire anarcho-capitaliste

Symptômes : hallucinations tchatchériennes.
Traumatisme originel : avoir raté le casting de Dragon Ball Z.
Prescription : sevrage de tronçonneuses.
Risque : laisser ses chiens clonés gouverner à sa place (et qu’ils fassent mieux).

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Patient n°5 : Vladimir Poutine

Trouble principal : Syndrome impérial post-soviétique

Symptômes : fixation sur l’Ukraine et fétichisme des tables de 12 mètres.
Traumatisme originel : l’effondrement de l’URSS… et de son ego.
Traitement ? Trop tard.
Risque : hégémonie radioactive.

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Patient n°6 : Benjamin Netanyahu

Trouble principal : Syndrome du messie sous obsession sécuritaire

Symptômes : tendance à confondre les hôpitaux et les écoles avec des cibles militaires.
Traumatisme originel : une grande phobie du mot génocide.
Traitement : lecture forcée du droit international.
Risque : être accusé de crime contre l’humanité, mais bénéficier d’une impunité.

Patient n°8 : Viktor Orbàn

Trouble principal : Trouble autoritaire avec paranoïa européenne

Symptômes : repli sur soi et allergie aiguë aux migrants et aux drag queens.
Traumatisme originel : regarder Game of Thrones en pensant que c’était un manuel de gouvernance.
Thérapie conseillée : stage Erasmus à Bruxelles.
Risque : contamination idéologique de tout un continent.

Patiente n°9 : Marine Le Pen

Trouble principal : Dissociation politique avancée (refus d’assumer son ADN idéologique)

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Symptômes : capacité surnaturelle à faire passer un projet xénophobe pour un “rassemblement”.
Traumatisme originel : être la fille de Jean-Marie Le Pen.
Traitement : tout quitter et devenir éleveuse de chats de RACE au domaine de Montretout.
Risque : se retrouver avec un fan de Dragibus comme président de la République en 2027.

Patient n°10 : Mohamed Ben Salman

Trouble principal : Mégalomanie néo-féodale + dissonance cognitive entre ouverture culturelle et enfermement politique.

Symptômes : Obsession pour les mégaprojets déserts et déshumanisés, goût prononcé pour les drones ET les concerts de The Weeknd.
Traumatisme originel : avoir grandi entre 300 jets privés, ne jamais avoir le droit de cligner des yeux sans autorisation du roi.
Traitement recommandé : cure intensive de droits humains coordonnée par Amnesty International.
Risque : devenir le premier dictateur à se faire remplacer par une IA… conçue par ses propres pétrodollars.

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Patient ultime : Manuel Valls

Trouble principal : Syndrome du retour éternel.

Symptômes : frustration chronique non élucidée, obsession pour la laïcité punitive, bougeotte politico-géographique, incapacité à rester invité à une soirée sans se faire huer.
Traumatisme originel : avoir cru très fort qu’il allait être président… puis finir par se faire ghoster par Barcelone et le PS.
Traitement recommandé : isolement dans une pièce insonorisée où il pourra débattre avec lui-même sans nuire à la démocratie.
Risque : faire un dernier come-back totalement inaperçu, ignoré même par les trolls sur Twitter.