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Attal, Sarkozy, Ciotti : les flops politiques de la semaine

En politique il y a souvent des tops, mais plus souvent des flops. Voici un top 3 des flops de la semaine. Et la concurrence était rude.

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Gabriel ATTAL

Annoncé par le précédent ministre de l’Éducation nationale, un référent harcèlement devait être mis en place par chaque établissement. Mais à quelques jours de la rentrée, les chefs d’établissement n’ont reçu aucune consigne.

Rentrée prise un peu trop à la légère par Gabriel, qui est arrivé en classe en retard, sans avoir réalisé ses devoirs de vacances. Doit vite se ressaisir. Avertissement dans le carnet.

Nicolas SARKOZY

Interrogé sur l’arrivée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du Dimanche, l’ancien président de la République a affirmé « Quand tant de journaux sont engagés à gauche, est-ce qu’on n’a pas le droit d’avoir un journal qui soit engagé au centre droit ? »

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Un journal désormais dirigé par l’ancien directeur de Valeurs Actuelles, proche d’Éric Zemmour et sympathisant de Marion Maréchal, on appelle pas ça « le centre droit ». On appelle ça le centre droit de la droite de l’extrême-droite.

Eric CIOTTI

À l’occasion du meeting de rentrée du parti Les Républicains, Éric Ciotti a fait son entrée au son des « Lacs du Connemara » de Michel Sardou.

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Choix audacieux mais avec du recul c’est assez logique, pour un parti ayant fait moins de 5% à la dernière présidentielle, de lancer une rentrée politique avec une chanson débutant par « Terre brûlée au vent ».